Hope Evans [over]

MA FRATERNITE/ MA SORORITE · ▬ I'm Switch LOVE me or FUCK you

PARTIE I ▬ ENTRETIEN AVEC ~~UN VAMPIRE~~ LA DOYENNE
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Bonjour. Et bien Mon nom est Hope Evans, mais les gens m’appellent Switch… Je suis né le 11 aout 1991, j’ai donc 19 ans. J’ai vécue quelques années à Londres dans ma plus petite enfance puis suite j’ai déménagé à New York. J’aimerais intégrer la section des Arts. C’est quelque chose qui m’a toujours beaucoup intéressé.

Je n’y ai pas encore réfléchis à vrai dire… Pour ne pas vous mentir, je pense que je le ferais certainement. Les KAPPA TAU GAMMA ont l'air coll j'ai croisé un de leurs membres en arrivent c'est lui qui m'a indiqué où se trouve vôtre bureau. Ils ont l'air "décalé" quelque chose qui me colle bien je trouve, je n'aime pas trop rentrer dans le moule.

Ah ...

Je suis quelqu’un de sociable, j’aime être entouré et me faire des amis. Reste à savoir si les gens des fraternités me branchent…heu me plaisent pardon. J’aime m’amuser je suis quelqu’un de nature joyeuse et festive…(voyant la tête de la doyenne) Mais pas au détriment du travail bien sûr !! Voyez vous j’ai toujours été un débrouillard depuis que je suis petit. J’ai…du grandir plus vite que prévue suite à des…événements. Mais ce n’est pas plus mal d’un côté je sais ce que c’est la vie, j’ai travaillé et étudié en même temps. Le manque de sommeil ne m’a pas empêché de réussir le lycée. Et les fraternités ne m’empêcheront pas de réussir ici. Je peux paraitre présomptueux. Pour certains c’est un défaut, je n’en suis pas convaincu. Cela permet me permet de réussir là ou les autres baissent les bras. Oui je suis sur de moi, mais je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose.

Bien bien bien ... Je pense que ce sera suffisant avec ces informations. Je met donc fin à cet entretien et vous invite à remplir les documents que mon adjoint va vous fournir. Simple routine, j'aime savoir qui sont les membres de mon établissements voyez-vous ...

MA FRATERNITE/ MA SORORITE · ▬ I'm Switch LOVE me or FUCK you

PARTIE II ▬ PAPERASSE & COMPAGNIE
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BIOGRAPHIE GÉNÉRALE DE L'ÉTUDIANT :

Et voila, je me retrouve encore devant une feuille blanche… Une feuille ou l’on me demande d’ouvrir mon cœur pour qu’une personne qui n’a aucune idée de qui je peux bien être la les et décide de mon avenir, parce que oui, je le sais bien que si ma lettre ne vous convient pas, je ne serais pas accepter je ne suis pas stupide. Donc cette feuille blanche je dois la remplir pour vous inciter à me donner une chance. Je me demande ce que peuvent bien écrire les fils à papa et les princesses de temps modernes. Quel genre d’expérience de vie peuvent-ils bien avoir. Enfin, eux ils ont un porte monnaie qui arrange tout. Oui vous l’avez bien compris je dis ce que je pense, enfin écris en l’occurrence. C’est une qualité rare de nos jours, la franchise… Je ne vais pas vous parler de moi en me glorifiant, en me faisant plus scintillant que je ne le suis. Je vais vous raconter d’où je viens et qui je suis, rien de plus, rien de moi. Si je ne vous plais pas après ça vous n’avez qu’à jeter mon dossier à la poubelle à côté de vôtre pied.

Je suis né à Londres, le 11 août 1991. Mes parents se sont mariés jeunes. Mais ils ont eut des problèmes pour concevoir un enfant, ça leur a pris plusieurs années, une fois que ma mère est tombé enceinte ils ont eu l’idée de m’appeler Hope, une sorte de nom symbolique pour eux. Apparemment ça leur importais peux que leur enfant porte un prénom aussi débile. Je ne l’ai jamais aimé ce prénom. Enfin bref ce n’est pas super important, je n’ai pas de souvenirs de ma petite enfance, normal après tout. A la limite des flashs, le sourire de mes parents, mais je ne suis même pas sur que ce soit vraiment des souvenirs. Trois ans ont passé. Ma mère est de nouveau tombée enceinte, un véritable miracle pour eux qui ont tellement du mal à en avoir un. Heureusement pour elle on ne l’a pas affublé d’un nom aussi lourd de sens comme le miens. Elle aurait très bien pu ce retrouver avec un truc du genre Destiny. Ils ont décidé de l’appeler Kelsey et je trouve se prénom très jolie.

Tout semblait bien allé pour nous. Et oui parce que le malheur frappe au hasard, c’est à ce demander pourquoi Hitler ne s’est pas retrouver avec un cancer, alors que ma mère elle oui… Malheureusement, cette période je m’en souviens, je me rappelle la mine fatigué, les cernes, les nausées et ses magnifiques cheveux bruns lui tombant de la tête. Mon père assistai à tout ça complètement impuissant, moi aussi d’ailleurs, j’étais encore petit à l’époque, mais je comprenais que quelque chose n’allais pas avec maman. Puis cela arrivas, maman avait lutté 2 ans avec la maladie. J’avais 6 ou 7 ans quand elle est morte. Mon père a eu du mal à s’en remettre, compréhensible. A cette époque je m’était un peu renfermé sur moi-même, je ne parlais plus beaucoup & je ne jouais pas avec les autres. Kelsey pleurais presque tout le temps, elle voulait sa maman, elle l’appelait jusqu'à ne plus avoir de voix. Ca brisai le cœur de mon père, je l’ai surpris plusieurs fois en train de pleurer dans la cuisine avec une bouteille de whisky à demi-vide. Je prenais ma sœur dans mes bras pour la calmer, mais que pouvais-je bien faire ?? Que pouvais-je bien lui répondre quand elle me demandait ou était nôtre mère ??

Après un certains temps de « deuil » nôtre père décida de quitter l’Angleterre pour la «terre des opportunités» comme il l’appelait. Je pense qu’il cherchait plus à se convaincre lui-même qu’autre chose. Nous avons rejoins un ami d’enfance de mon père à New-York. Au début c’était la galère, à quatre dans un petit appartement de banlieue, je dormais avec ma petite sœur tandis que nôtre père dormais parterre. Il m’avait inscrit moi & ma sœur dans l’école du quartier, je me battais souvent, on se moquait de moi et de ma sœur pour nôtre accent anglais. Je ne gagnais pas toujours, mais ça ne m’empêchais pas de monter au créneau à chaque fois. Je n’étais et ne suis toujours pas d’ailleurs quelqu’un de violent par nature, je ne supporte pas qu’on se moque de moi et encore moins de ma sœur. Enfin j’ai beaucoup d’autodérision, je pense qu’il savoir rire de soit. Mais je ne supporte pas la méchanceté gratuite et la mesquinerie. Mon père travaillais avec Oncle Harry (c’est comme ça qu’on appelait l’ami à mon père). Il n’a jamais été totalement clair sur ce qu’ils faisaient, ils devaient enchainer les petits boulots pour payer de quoi remplir les assiettes.

Un soir papa c’tait disputé avec l’oncle Harry, ils en étaient pratiquement venue aux mains, je pense qu’ils ne l’ont pas fait parce qu’on était là. Le fait est qu’Harry nous a foutus dehors ce soir là. Papa nous avais emmené dans un centre, à l’époque je ne savais pas ce que c’était, aujourd’hui je sais que c’était un centre pour SDF. Le lendemain on était parti à l’école avec Kelsey, nôtre père lui avait travaillé toute la journée comme un fou pour nous payer un hôtel miteux pour la nuit. Je pense que cette période était la plus pourrie de ma vie. Je ne pouvais pas en vouloir à mon père, il se tuait à la tache pour nous offrir un toit et a manger. Il m’arrivait des fois de me surprendre à ressentir de la colère envers ma mère de nous avoir laissé. Pus rapidement je m’en voulais terriblement d’avoir pu penser une chose pareille, comme ci c’était ce qu’elle voulait…

Le temps à passé, j’ai grandis. Mon père c’était débrouillé pour louer un appart miteux dans un quartier pourrie de New-York, il c’était trouver un travail sur les docks. Il chargeais les bateaux à l’aide d’une grue géante, la plupart du temps il travaillais de nuit, de cette façon il était payé double, la journée il lui arrivais de faire des heures supplémentaires pour pouvoir nous offrir des babioles, comme de nouvelles chaussures ou des jouets à ma sœur. Mon père avait pris dix ans en quelques années, ses rides s’étaient approfondies et ses cheveux noirs comme le charbon devenaient de plus en plus poivre et sel. On n’habitait pas loin d’un magasin de musique, j’y passais tous les jours en rentrant de l’école. Les instruments me fascinaient. J’étais attiré par les guitares et les pianos, je les trouvais majestueux. Je les trouve toujours d’ailleurs. A force de me voir tous les jours, le gérant, un vieux monsieur, qui ressemblait à une sorte de Clint Eastwood mais en plus grincheux encore me pris en affection, il disait toujours qu’il aimait la lumière dans mes yeux quand elle se posait sur un instrument. Il me donna des cours, je courais tous les jours après les cours pour arriver le plus vite possible dans la boutique et pouvoir continuer ma leçon.

Il m’apprenait aussi à rénover les instruments, à changer les cordes d’une guitare, accorder un piano. Mais je ne lance pas dans des explications, je pourrais écrire pendant des heures que je n’arriverais pas à la moitié de ce qu’il m’a appris. Un jour le vieux Ray m’offrit une guitare, je pense que c’était l’un des plus beaux moments de ma vie. Le soir pour ne pas réveiller ma sœur après avoir finis mes devoirs, je sortait sur l’escalier de secours et jouais dans le noir. C’était une sorte de rituel, je le faisais tous les soirs, sauf quand il pleuvait, là je me mettais simplement sur le bord de la fenêtre.

Peu de temps après Ray m’a proposé de travailler chez lui. Je devais avoir 14-15 ans, J’étais plutôt doué pour vendre, j’avais le contact facile avec les gens, je n’ai pas perdu ce talent encore aujourd’hui je n’ai aucun problème à aborder un parfait inconnu dans la rue. La boutique à augmenté ces ventes, j’en faisais la pub au lycée, j’organisais différentes initiations pour donner envie au gens d’acheter un instrument, je donnais aussi des cours de guitare & de piano. Ray ne me payais pas une fortune, mais c’était un somme tout à fait acceptable pour quelqu’un de mon âge. Je n’avais plus besoin de papa pour me payer de fringue ou des outils pour mon skate. J’offrais des cadeaux à Kelsey & je mettais ce qu’il me restait dans le bocal de la cuisine qu’on avait en commun avec mon père pour les frais de la maison. Je suis devenue indépendant assez tôt. C’est au lycée que j’ai découvert vraiment à fond ma passion pour l’art. Avant c’était un hobby, un loisir, mais j’ai su à ce moment là que c’était mon truc. J’aime la scène que ce soit pour jouer ou chanter, les dessins on toujours tenue une part importante dans ma vie et bien sur la musique. C’est ma voie, ma destiné si j’ose dire même si c’est un peu bizarre pour moi de penser ça. Je ne me vois pas autre part que là dedans quand je me projette dans l’avenir.

J’ai donc choisie de venir étudier ici, la séparation a été difficile pour moi, surtout avec ma petite sœur. Je garde bien sûr toujours contact avec eux grâce à la technologie moderne. Papa c’est trouvé un copine et il semble heureux, je dois dire que je l’aime bien elle est cool. On pourrait dire que la galère est finie pour nous, en tout cas je l’espère. Mais je suis bien dans ma tête, j’ai l’impression que je pourrais enfin profiter de ma jeunesse qui m’a été un peu volée. Je vais enfin pouvoir vivre pleinement ma vie.

J’espère que mon histoire vous auras suffisamment intéressé pour ne pas finir à la poubelle. Mais je vous en supplie, ne me prenez surtout pas par pitié, je ne demande pas la charité, si je vous ai dis ce qui m’est arrivé c’est juste pour que vous sachez qui je suis et d’où je viens. J’espère être accepté dans cette université, sinon et bien…TANT PIS POUR VOUS !!

VOTRE VIE EN TANT QUE BIZUT :
( Pour les bizuts uniquement )

Je ne suis pas du genre à me laisser faire,donc si l'on cherche à me faire des blagues, il y auras forcément des représailles ! Tout dépendras de la nature de la blague, si elle est inoffensive et drôle la mienne le seras également, par contre, si c'est bête et méchant alors la riposte le seras tout autant. Je me suis parfaitement intégré et j'ai pleins de potes. Je vais m'investir à fond pour que nôtre fraternité soit la plus classe possible !!